Chères lectrices, chers lecteurs : ce blog se termine aujourd’hui. Un grand merci à vous tous pour l’intérêt que vous avez porté à ces quelques réflexions éparses. J’espère que ces notes, rédigées au fil des semaines et des rencontres, aient pu éveiller votre curiosité ou susciter des questionnements. Je voudrais remercier tous les amis et collègues qui ont gentiment accepté de partager avec nous leurs idées et impressions : Daniel Barroca, Zoltán Biedermann, Filipa César, Anaïs Farine, Lúcia Ramos Monteiro, Emmanuel Siety. Merci infiniment à Clara Schulmann, dont le questionnaire sur les « Techniques émotionnelles. Écrire et filmer au féminin » est venu animer et enrichir cet espace. Clara est une complice intellectuelle de longue date, sans laquelle je n’aurais pas osé me lancer dans cette aventure : je souhaite vivement que le travail qu’elle a mené ici ne s’arrête pas avec ce blog. Enfin, je remercie très chaleureusement l’équipe du Jeu de Paume, en particulier Marta Ponsa et Adrien Chevrot. Ça a été à la fois un plaisir et un privilège de travailler avec vous.
Il est impossible, au moment où je vous écris, de ne pas avoir le cœur lourd. Je pense à une phrase de Romain Rolland (rendue célèbre par Gramsci, qu’on a abondamment cité ces derniers jours) :