Marcelline Delbecq, Oublier, Voir, Lecture avec projection d’images, 22′, Soirée Nomade à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, 18 juin 2014. Photo projetée : Rémy Héritier / Photo : Olivier Ouadah.
Je me souviens d’avoir écouté les textes de Marcelline Delbecq (n. 1977) il y a quelques années, quand nous suivions ensemble une formation à l’université. Sa voix surtout m’a beaucoup marquée. Quand je lis ce qu’elle écrit aujourd’hui, je m’aperçois que ses références, ses méthodes de travail étaient présentes alors – déjà identifiées, au travail. Voici ce qu’elle se prépare à publier – entre autres : When a woman gets lonely (CDN d’Orléans, 2015-2016), Oublier, voir (éditions Fondation Cartier pour l’art contemporain et Manuella éditions, septembre 2015), Combien d’années-lumière (Crédac, Ivry sur Seine, septembre-décembre 2015).
I remember listening to texts by Marcelline Delbecq (b. 1977) a few years ago, when the two of us were at university together. It was her voice, above all, that made an impression. When I read what she is writing now I realise that her references and her working methods were already present then, already identified, in her work. She is about to publish (among other projects), When a woman gets lonely (CDN, Orléans, 2015-2016), Oublier, voir (Éditions Fondation Cartier pour l’Art Contemporain and Manuella Éditions, September 2015), Combien d’années-lumière (Crédac, Ivry-sur-Seine, September-December 2015). Clara Schulmann