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Laura González Flores, commissaire de l’exposition consacrée à Manuel Àlvarez Bravo au Jeu de Paume, commente une série d’archives pour le magazine, avant que les vitrines ne soient fermées à clef… Elle retrace en particulier l’histoire d’une photographie funeste mais désormais célèbre : l’ouvrier en grève, assassiné. De la prise de vue aux diverses publications dans la presse ou dans des revues artistiques, en passant par le post-traitement de la photographie, elle montre à quel point l’interprétation de l’image est conditionnée par un ensemble de facteurs hétérogènes. Cette rencontre avec la commissaire permet de mieux comprendre pourquoi et comment, chez Manuel Àlvarez Bravo, cette photographie s’intègre dans un corpus plus large de « gisants », mais aussi la manière dont André Breton la re-contextualise et l’utilise dans la revue Minautore parue en mai 1939.
Visuel en page d’accueil : Manuel Álvarez Bravo, Tríptico cemento-2 / La Tolteca (Triptyque béton-2 / La Tolteca), 1929. Collection Familia González Rendón © Colette Urbajtel / Archivo Manuel Álvarez Bravo, S.C.
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« Manuel Álvarez Bravo. Un photographe aux aguets (1902-2002) »
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