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mardi 26 juillet 2016

Manifestation au lendemain de l’incendie

 

Interdiction de s’approcher du CRA, on n’arrive pas à voir les bâtiments incendiés, ni les traces du feu…

 

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lundi 25 juillet 2016

“À minuit, on a refusé d’être comptés”

8 Novembre 2012

Feu au centre de rétention, 2008, 160 pages. Editions Libertalia. Collection À boulets rouges.

 

“Durant les six mois qui ont précédé son incendie, le 22 juin 2008, le centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes a connu un mouvement de révolte continu, relayé par une forte mobilisation. Devant le centre, les manifestations, les rassemblements, les concerts et les parloirs sauvages se sont multipliés. En parallèle à ces différentes initiatives, nous avons décidé de téléphoner régulièrement aux retenus et de publier leurs témoignages (sur Internet) dans un bulletin intitulé Fermeture des centres de rétention. Le « nous » à l’origine de cette initiative n’est pas un collectif formel, mais un groupe d’individus voulant maintenir un lien permanent avec les retenus du centre.”

https://feuaucentrederetention.noblogs.org/

Feu au centre de rétention, 2008, 160 pages. Editions Libertalia. Collection À boulets rouges.


Feu au centre de rétention, 2008, 160 pages. Editions Libertalia. Collection À boulets rouges.

lundi 25 juillet 2016

“À minuit, on a refusé d’être comptés”

8 Novembre 2012

Feu au centre de rétention, 2008, 160 pages. Editions Libertalia. Collection À boulets rouges.

 

“Durant les six mois qui ont précédé son incendie, le 22 juin 2008, le centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes a connu un mouvement de révolte continu, relayé par une forte mobilisation. Devant le centre, les manifestations, les rassemblements, les concerts et les parloirs sauvages se sont multipliés. En parallèle à ces différentes initiatives, nous avons décidé de téléphoner régulièrement aux retenus et de publier leurs témoignages (sur Internet) dans un bulletin intitulé Fermeture des centres de rétention. Le « nous » à l’origine de cette initiative n’est pas un collectif formel, mais un groupe d’individus voulant maintenir un lien permanent avec les retenus du centre.”

https://feuaucentrederetention.noblogs.org/

Feu au centre de rétention, 2008, 160 pages. Editions Libertalia. Collection À boulets rouges.


Feu au centre de rétention, 2008, 160 pages. Editions Libertalia. Collection À boulets rouges.

dimanche 24 juillet 2016

mercredi 20 juillet 2016

 

 

 
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lundi 18 juillet 2016

L’étincelle

 

Incendie au Centre de Rétention Administrative de Vincennes, 22 juin 2008


 

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dimanche 17 juillet 2016

et ils vont dans l’espace qu’embrasse ton regard

 

Ce projet se déroule en plusieurs étapes et comporte différents éléments, parmi lesquels au moins deux films dont une version spécialement produite par le Jeu de Paume sera présentée sous forme d’installation vidéo dans le cadre de l’exposition “Soulèvements”, organisée sous le commissariat de Georges Didi-Huberman.

Ces films auront notamment pour sujet l’évocation d’un lieu dont on n’a pas d’images ou presque : le Centre de Rétention Administrative de Vincennes, dans le XIIe arrondissement de Paris. Il s’agit d’un espace à la fois fantomatique et hanté par l’histoire d’une révolte des sans papiers qui y étaient retenus en juin 2008, au cours de laquelle une section du bâtiment a été incendiée. Il n’y a eu presque aucune image de cet événement dans les médias. Quelques semaines plus tard, j’ai réalisé une installation autour de l’absence d’images de cette révolte, que j’ai nommée les villes invisibles 2. l’étincelle (Vincennes 2008). Depuis, d’autres Centres de Rétention dans différentes localités ont également été incendiés lors de révoltes similaires.

Le projet vise à explorer la résonance de ces révoltes, de ces feux qui continuent de se propager, qui communiquent tacitement entre eux tout en s’adressant à nous, comme autant de signaux de fumée que l’on refuse souvent de voir en se disant que « ça ne nous regarde pas », alors que la majorité des CRA se trouvent tout près de nous, à l’intérieur de nos villes… donc oui, « ça » nous regarde.


Estefanía Peñafiel Loaiza