— Regard
Ed van der Elsken


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En collaboration avec le Stedelijk Museum et le journal de Volkskrant, le magazine publie quelques regards d’amis, journalistes, admirateurs d’Ed van der Elsken sur son œuvre. Un point commun se dégage de ces récits : la spontanéité du photographe et son énergie contagieuse.


L’une des premières choses que la photographe Vénus Veldhoen vit quand elle vint au monde fut un homme avec un grand appareil photo. Il s’agissait d’Ed van der Elsken, un ami de son père. Ce fut une sorte de présage : elle devint photographe. Maintenant, elle participe à des expositions aux Pays-Bas et à l’étranger. Comme elle dit : “La boucle est bouclée” !





Le photographe Maarten van der Kamp a le même terrain de jeu qu’Ed van der Elsken il y a quelques décennies : les rues d’Amsterdam. Il commente l’une des plus célèvres photographies d’Ed van der Elsken : “Quartier de Nieuwmarkt, Amsterdam, 1961”





Gerrit Jan Wolffensperger, ami d’Ed van der Elsken, se remémore les émeutes lors du mariage de la princesse Beatrix et du prince Claus, à Amsterdam en 1966.





La journaliste Joyce Roodnat est une grande fan des films d’Ed van der Elsken. Elle a écrit le livre “Hee… zie je dat!?” [Hé… vous avez vu ça !?”]. Joyce Roodnat rappelle qu’Ed van der Elsken était aussi un grand cinéaste.





Jean van Roon, amateur de photographie, raconte comment il avait séché les cours pour visiter la première exposition personnelle d’Ed van der Elsken au Stedelijk Museum à Amsterdam, en 1966. À l’époque, une photographie l’avait particulièrement impressionné : “Le Groenburgwal, Amsterdam, 1956” (Collection d’Anneke Hilhorst).





Gina Esmeralda Kruiswegt & Sonja Kruiswegt sont connues pour être les “Jumelles sur la place Nieuwmarkt, Amsterdam” photographiées par Ed Van der Elsken en 1956. Collection du Stedelijk Museum d’Amsterdam.







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